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Lac Sainte-Anne (2415m)
Queyras
Hautes-Alpes
Latitude 44° 37' 01'' N |
Agrandir la carte IGN d’après le site GÉOPORTAIL https://www.geoportail.gouv.fr |
Itinéraires d'accès au lac RANDONNÉE FAMILIALE SUR LARGE SENTIER BIEN ENTRETENU ET HYPER-FRÉQUENTÉ Le lac Sainte-Anne (2 415 m) (Queyras, Hautes-Alpes) se situe à une dizaine de kilomètres au SUD-EST de Ceillac, et au pied de la face NORD du massif de la Font Sancte (3 385 m) (carte). L'accès routier le plus simple passe par le village de Ceillac et remonte la vallée du Mélezet par la D 60 jusqu'à son terminus : le grand parking de Chaurionde (accès routier n°1). L'accès en voiture jusqu'au parking de Chaurionde (1 967 m), départ du sentier qui conduit au lac Sainte-Anne (2 415 m), peut se faire depuis Guillestre (accès routier n°2), Briançon (accès routier n°3) ou Gap (accès routier n°4), par exemple. (Randonnée N°1) Un autre accès routier remonte lui aussi la vallée du Mélezet par la D 60, mais le parking de départ est bien avant le terminus de la D 60 : il s'agit du grand parking du Pied du Mélezet (1 692 m) (départ des remontées mécaniques) (accès routier n°5). L'accès en voiture jusqu'au parking du Pied du Mélezet (1 692 m), départ du sentier qui conduit au lac Sainte-Anne (2 415 m), via le lac Miroir ou lac des Prés Soubeyrand (2 214 m), peut se faire depuis Guillestre (accès routier n°6), Briançon (accès routier n°7) ou Gap (accès routier n°8), par exemple. (Randonnée N°2) Voici les itinéraires de randonnée :
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Glaciers rocheux du cirque de Sainte-Anne Au-dessus du lac Sainte-Anne (2 415 m) et au pied de la face NORD de la Font-Sancte (3 385 m), point culminant du massif sud-alpin éponyme, se trouvent trois glaciers rocheux. Logés dans un cirque exposé NORD, ils dominent la vallée du Mélezet, au SUD-EST de Ceillac (Hautes-Alpes), dans le Parc régional du Queyras. Des mouvements, d'interprétation délicate, ont été mis en évidence sur la moraine"Emprunté au savoyard morêna, «renflement qui se forme à la lisière inférieure d'un champ en pente par suite de la descente de la terre», une moraine désigne un amas de blocs et de débris rocheux entraîné par le mouvement de glissement d'un glacier (moraine mouvante), et apparaissant lors de son retrait ou s'accumulant sur les bords, le centre ou l'extrémité inférieure de celui-ci (moraine déposée)." de l'un d'entre eux, dans la seconde moitié du XXème siècle. La vitesse moyenne annuelle de déplacements a été de 0,36 m /an entre 1948 et 1971. En 1978, W. Haeberli a mis en évidence la présence d’un pergélisol"Mot-valise formé par les mots « permanent », « gel » et « sol », le pergélisol, (en anglais, « permafrost », « permanent frost », « gelé en permanence ») désigne la partie d'un sol gelée en permanence, au moins pendant deux ans, et de ce fait imperméable." discontinu dans ces glaciers rocheux du cirque de Sainte-Anne
(1). Ce pergélisol se forme lorsque la neige et la glace, qui se trouvent à la surface des glaciers, fondent et regèlent localement en profondeur. Il en est ainsi dans la zone où les températures annuelles sont inférieures ou égales à -2°C, c'est-à-dire aux altitudes supérieures à 2 680 m.
Qu'est-ce qu'un glacier "vrai" ou glacier "blanc" ? Comme nous l'avons déjà écrit (ici) la molécule d'eau, par ses propriétés physico-chimiques bien particulières, est dotée de qualités extraordinaires. Ainsi l'eau solide est un matériau viscoplastique"De « visqueux » et de « plastique », la viscoplasticité décrit la déformation inélastique d’un matériau sous l’effet d’une contrainte continue. Le matériau se comporte comme s’il était composé d'un solide plastique et d'un fluide visqueux où l'écoulement serait dépendant de certains paramètres." qui s’écoule par déformation, c'est-à-dire qui flue"Du latin « fluo », couler, le fluage caractérise la déformation lente d'un solide soumis à de fortes pressions qui le fait se comporter comme un liquide visqueux." juste sous l’effet de son propre poids. La glace peut être comparée à un liquide très visqueux capable de s'écouler le long d'une pente. Sa viscosité"Du latin « viscum », gui, glu, la viscosité représente la résistance d’un fluide ou d’un solide à l’écoulement.", très élevé, est dépendante de la température : 1,5 x 1013 Pascals.seconde à -13°C. C'est à dire 1016 fois plus que celle de l'eau liquide à 0°C ! La glace se déplace non pas parce qu'elle fond, mais parce qu'elle se comporte à la manière d'un liquide. Lorsque la température annuelle est inférieure à 0°C, la neige qui s’amasse au cours du temps se tasse sous le poids des dépôts successifs et se transforme en glace. L'épaisseur de la couche ainsi formée, pourrait atteindre plus d'une dizaine de kilomètres, au fils des millénaires, si la glace restait figée ! Mais cette eau solide répond aux lois de la rhéologie"Du grec « rheo », couler et « logos », étude, la rhéologie est l'étude de la déformation et de l'écoulement de la matière sous l'effet d'une contrainte appliquée. La matière étudiée peut être liquide ou solide. Pour un solide, la déformation peut être cassante ou ductile." et s'écoule généralement le long d'une pente : c'est un glacier. Le glacier se forme dans une partie de l'appareil glaciaire nommée "zone d’accumulation". Des processus d’écoulement entrent alors en jeu et amènent l’excès de glace sous la limite des neiges persistantes (température annuelle ≥ 0°C). La glace fond dans ce secteur nommée "zone d’ablation". L'eau solide peut aussi être conduite dans une zone permettant le détachement de fragments du glacier, comme dans le cas des glaciers alpins suspendus. Généralement retenus par un verrou qui surplombe des pentes rocheuses escarpées, ces derniers ne possèdent pas de zone de fusion. L’ablation se fait par vêlage"Le vêlage est la perte de fragments par un glacier, sous forme d'icebergs qui se retrouvent dans une étendue d'eau (mer, lac proglaciaire, etc...)." de séracs"Du latin populaire « seraceum », « sérums », « petit-lait », le sérac est un fromage blanc fabriqué à partir de petit-lait (lactosérum). Par leur ressemblance à ce fromage, les blocs de glace provenant d’un glacier portent eux aussi ce nom.". Deux processus prédominent dans l’écoulement d’un glacier. Le fluage"Du latin « fluo », couler, le fluage caractérise la déformation lente d'un solide soumis à de fortes pressions qui le fait se comporter comme un liquide visqueux." de la glace intéresse aussi la formation des crevasses glaciaires. Celles-ci ne restent ouvertes qu’en surface ou proche de la surface et ne dépassent pas la trentaine de mètres en profondeur. Haut-delà, la glace flue sous la pression de son poids, refermant tout début de fracturation. Cependant, dans la zone d’accumulation, la profondeur des crevasses peut atteindre le double de celle de la zone d’ablation. Ainsi la profondeur de la rimaye"Du latin « rimari », « fendre, ouvrir, fouiller », la rimaye est une large et profonde crevasse qui marque la frontière supérieure entre le rocher (ou la glace qui y adhère) et la glace en mouvement." atteint jusqu’à 60 m. (10) Trois
sortes de glacier peuvent être dénombrés : Qu'est-ce qu'un glacier rocheux ? Un glacier rocheux ne doit pas être confondu avec un glacier noir. Bien qu'ils soient tous les deux recouverts de débris rocheux et qu'ils se déplacent le long d'une pente, le glacier noir est simplement constitué de glace alors que le glacier rocheux est formé d'un mélange glace-pierrailles et contient des interstices assez grands. Avec une vitesse de quelques centimètres à quelques décimètres par an, la très lente progression d'un glacier rocheux est bien inférieure à celle d'un glacier classique (3). Le glacier rocheux est actif
lorsqu'il possède, un noyau gelé, aussi nommé pergélisol"Mot-valise formé par les mots « permanent », « gel » et « sol », le pergélisol, (en anglais, « permafrost », « permanent frost », « gelé en permanence ») désigne la partie d'un sol gelée en permanence, au moins pendant deux ans, et de ce fait imperméable." ou permafrost"Mot-valise formé par les mots « permanent », « gel » et « sol », le pergélisol, (en anglais, « permafrost », « permanent frost », « gelé en permanence ») désigne la partie d'un sol gelée en permanence, au moins pendant deux ans, et de ce fait imperméable.", de
plusieurs dizaines de mètres de profondeur protégé par 2 à 5 m de blocaille, un
front raide (>35°) avec des blocs instables et une végétation quasiment absente
(4)
(5).
En outre, dans les Alpes du Sud, ce type de glacier nécessite la présence de
hauts vallons d'exposition NORD ou NORD-EST, avec des versants suffisamment
raides et constitués de roches susceptibles de se débiter en blocs par
gélifraction"La gélifraction (du latin gelu, « gelée, glace, grand froid » et fractio, « action de briser ») ou gélivation (du lation gelare, « geler ») ou cryoclastie (du grec kruos, « froid », et klasis, « briser, rompre ») est un processus géomorphologique d'altération des roches, provoqué par les cycles de gel et de dégel de l'eau. D’où l’expression « geler à pierre fendre ». Le glacier rocheux est inactif
lorsque le noyau gelé, indispensable à son fonctionnement, a fondu. Les masses
pierreuses se sont affaissées. Le front de ce glacier est alors moins incliné
avec des blocs stabilisés et une couverture végétale clairsemée. Il a toutefois
conservé son aspect de langue
(4)
(6).
Comment fonctionne un glacier rocheux ?
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Contexte
écologique
du lac Situé au NORD-EST du département des Hautes-Alpes, dans la partie SUD-OUEST du Parc Naturel Régional du Queyras, le site naturel qui héberge le lac Sainte-Anne (2 415 m), le lac Miroir ou lac des Prés Soubeyrand (2 214 m) et le lac des Rouites (2 413 m), s'insère en rive gauche, au fond de la vallée du Mélezet (carte). Cet espace naturel est bordé à l'OUEST et au SUD par des sommets culminants à plus de 3 000 m. La prédominance d’imposantes falaises et de vastes éboulis, confère un aspect globalement minéral au paysage"Un paysage est une mosaïque d’écosystèmes reliés les uns aux autres, échangeant de l’énergie, de la matière et des organismes.". Ce site s'inscrit dans les Alpes internes et bénéficie d'un climat de type continental sec. Compris entre 2 050 m et 3 385 m d'altitude, cet espace naturel englobe les étages subalpin supérieur, alpin et nival, où se répartit la végétation. Outre les plantes spécifiques d'éboulis et de falaises, ce lieu présente des pelouses alpines d'aspect souvent écorché et, aux altitudes inférieures, des forêts de Mélèze (Larix decidua). Trois habitats déterminants sont recensés
sur le site : Cet espace naturel comprend aussi cinq
habitats remarquables : Le site renferme huit
espèces végétales déterminantes : Le site abrite également une espèce remarquable protégée au niveau
national : Seulement quatre espèces animales remarquables ont été recensées dans cette zone, ce qui mériterait des inventaires complémentaires (novembre 2017). Les Oiseaux sont représentés par : Parmi les
Insectes de cet espace naturel, se trouvent : Inventaire de la faune et de la flore:
INPN
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Contexte historique
du lac Le lac Sainte-Anne doit son nom au pèlerinage qui à lieu régulièrement depuis 1751, le 26 juillet, jour de la fête de la Sainte-Anne, mère de la Vierge Marie pour les chrétiens de confession catholique. Auparavant, le lac portait le nom de "lac Dous", "Ladous", "Ladoux", "La Doux". Les pèlerinages aux fontaines saintes et aux lacs sont largement répandus dans les Alpes. Même si les dates des tout premiers pèlerinages au lac Sainte Anne ne sont pas connues, elles pourraient être antérieures à la chrétienté. En tout cas, on ne trouve des traces écrites qu'à partir du XVIIème siècle. On ignore la date de construction de la première chapelle Sainte-Anne, mais on sait qu'une chapelle fut réparée le 15 novembre 1743 par Chaffrey FOURNIER pour 17 livres. Bien qu'avant le 26 juillet 1751, les pèlerinages ne se faisaient pas à date fixe, comme de nos jours, mais uniquement pour demander de la pluie lors d'une période de sécheresse, il est intéressant de noter qu'ils avaient lieu essentiellement au mois de juillet, comme l'attestent les livres consulaires : le 9 juillet 1699, le 14 juillet 1722, le 17 juillet 1725, le 7 juillet 1729, le 31 juillet 1736, le 1 juillet 1739. (Exceptions : le 29 août 1726, le 29 avril 1734). Originellement, le pèlerinage était composé de deux processions : les paroissiens de CEILLAC et ceux de MAURIN.
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Lac Sainte-Anne (2415m) dominé par la Font Sancte. |
- le Pic Nord de la Font Sancte (3385m), au centre, - le Pic des Heuvières (3271m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m) dominé par la Font Sancte. |
- le Pic Nord de la Font Sancte (3385m), au centre, - le Pic des Heuvières (3271m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m) dominé par la Font Sancte. |
- le Pic Nord de la Font Sancte (3385m), au centre, - le Pic des Heuvières (3271m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m) dominé par la Font Sancte. |
- le Pic Nord de la Font Sancte (3385m), au centre. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m) dominé par la Font Sancte. |
- le Pic Nord de la Font Sancte (3385m), sur la droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m) dominé par la Font Sancte. |
- le Pic Nord de la Font Sancte (3385m), au centre, - le Pic des Heuvières (3271m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m) dominé par la Font Sancte. |
- le Pic Nord de la Font Sancte (3385m), au centre, - le Pic des Heuvières (3271m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m) dominé par la Font Sancte. |
- le Pic Nord de la Font Sancte (3385m), au centre, - le Pic des Heuvières (3271m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m) dominé par la Font Sancte. |
- la Tête de Girardin (2876m), à gauche, - le Col de Girardin (2699m), au centre, - l'Aiguille de Chambeyron (2699m), au loin, - le Pic Nord de la Font Sancte (3385m), - le Pic des Heuvières (3271m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m) dominé par la Font Sancte. |
- le Pic Nord
de la Font Sancte (3385m), au centre, - le Pic des Heuvières (3271m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m) dominé par la Font Sancte. |
- le Col de Girardin (2699m), à gauche, - l'Aiguille de Chambeyron (2699m), au loin, - le Pic Nord de la Font Sancte (3385m), à droite, - le Pic des Heuvières (3271m), à l'extrême droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Le lac Sainte-Anne (2415m), dominé par la Font Sancte, laisse entrevoir un de ses glaciers rocheux. |
- le Pic Nord de la Font Sancte (3385m). |
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Lac Sainte-Anne (2415m). |
- la chapelle Sainte-Anne, à l’extrême gauche, - le col Girardin (2699m), au centre, - le Pic Nord de la Font Sancte (3385m), à l’extrême droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- la Tête de Coste Belle (2552m), au centre et derrière le lac, - la chapelle Sainte-Anne, à l'autre bout du lac. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- la Tête de Coste Belle (2552m), au centre et derrière le lac, - la chapelle Sainte-Anne, à l'autre bout du lac. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- la Tête de Coste Belle (2548m), au centre droit, - la Chapelle Sainte-Anne, au centre droit, - Rochebrune (3320m), sur la droite et au fond, - la Pointe de Rasis (2844m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- la Tête de Coste Belle (2548m), au centre droit, - la Chapelle Sainte-Anne, au centre droit, - Rochebrune (3320m), sur la droite et au fond, - la Pointe de Rasis (2844m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- la Tête de Coste Belle (2548m), au centre droit, - la Chapelle Sainte-Anne, au centre droit, - Rochebrune (3320m), sur la droite et au fond, - la Pointe de Rasis (2844m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- la Tête de Coste Belle (2548m), sur la droite, - la Chapelle Sainte-Anne, sur la droite, - Rochebrune (3320m), à droite et au fond. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- la Tête de Coste Belle (2548m), au centre gauche, - la Pointe de Rasis (2844m), au centre, - la Chapelle Sainte-Anne, au centre, - le Marcous (2685m), au centre droit, - le Queyrellet (2776m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- la Tête de Coste Belle (2552m), au centre et derrière le lac, - la chapelle Sainte-Anne, à l'autre bout du lac. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Chapelle Sainte-Anne
Chapelle Sainte-Anne
Chapelle Sainte-Anne.
Messe à la chapelle Sainte-Anne (2415m), le 26 juillet 2018. Une procession séculaire commune aux paroisses de Ceillac et
de Maljasset a lieu chaque année à la chapelle du lac Sainte Anne, le 26 Juillet, jour de la Sainte Anne.
(En savoir plus) Le 26 juillet 2018, une messe avait lieu à 11H00 à la Chapelle du lac, en présence de Monseigneur Xavier Malle, évêque de Gap. |
Bannière de procession représentant Sainte Anne, mère de la Vierge Marie,
lors de la montée à la Chapelle Sainte-Anne le 26 août 2018.
Face SUD de la Tête de Coste Belle (2552m). |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- le Pic des Heuvières (3271m), au centre. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Calcschistes planctoniques (voir le texte).
Coté OUEST de l'ancien poste optique de la Tête de Favière (2866m). |
Coté OUEST de l'ancien poste optique de la Tête de Favière (2866m). |
- le Pic du Pelvat (3220m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Coté EST de l'ancien poste optique de la Tête de Favière (2866m). |
- le Pic Nord de la Font Sancte (3385m),
à gauche, - le Pic des Heuvières (3271m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- le Pic des Heuvières (3271m), à gauche, - un bout de la Pointe de la Saume (3043m), au centre, - le massif des Écrins, sur la droite et au loin. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- un bout de la Pointe de la Saume (3043m), au centre gauche, - le massif des Écrins, au centre et au loin, - la Tête de Coste Belle (2552m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- un bout de la Pointe de la Saume (3043m), à gauche, - le massif des Écrins, au loin. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Depuis le col Girardin (2699m). |
- le lac Sainte-Anne (2415m), devant, - le lac Miroir (2214m) ou lac des Prés Soubeyrand, beaucoup plus bas sur la droite, - la Pointe de la Saume (3043m), au centre, - le massif du Pelvoux - Écrins, au fond et à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- le Pic des Heuvières (3271m), à gauche, - la Pointe de la Saume (3043m), à droite, - le massif des Écrins, à l'extrême droite et au loin. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Lac Sainte-Anne (2415m). |
- le Pic des Heuvières (3271m), à gauche, - la Pointe de la Saume (3043m), à droite. |
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris) |
Torrent au Fond de Chaurionde vers 2040m, au début de la montée au lac Sainte-Anne depuis Chaurionde.
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