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Lac des Rouites (2413m)

Queyras

Hautes-Alpes

 

Latitude  44° 37' 37'' N
Longitude 6° 47' 09'' E
Altitude 2 413 m

 

Agrandir la carte IGN d’après le site GÉOPORTAIL https://www.geoportail.gouv.fr



  Itinéraires d'accès au lac

SUR SENTIER BALISÉ, ASSEZ FACILE

      Le lac des Rouites (2 413 m) se situe à une dizaine de kilomètres au SUD de Ceillac (Queyras, Hautes-Alpes) (carte).

      L'accès routier le plus simple passe par le village de Ceillac et remonte la vallée du Mélezet par la D 60 jusqu'au grand parking du Pied du Mélezet (1 692 m) (départ des remontées mécaniques) (accès routier n°1).

      L'accès en voiture jusqu'au départ du sentier qui conduit au lac des Rouites (2 413 m), via le lac Miroir (2 214 m), peut se faire depuis Guillestre (accès routier n°2), Briançon (accès routier n°3) ou Gap (accès routier n°4), par exemple.

      Voici les itinéraires de randonnée :

  N°1 d’après le site participatif Altituderando www.altituderando.com, Copyright ©

 

  Contexte géologique du lac

      Suspendu au-dessus et en rive gauche de la vallée du Mélezet, le lac des Rouites (2 413 m) est logé sur un replat immédiatement en contrebas du versant SUD-EST de la Crête des Veyres (3 051 m) (calcaire"Du latin «calcarius», calcaire, chaux, les calcaires sont des roches sédimentaires, tout comme les grès ou les gypses, facilement solubles dans l'eau, composées majoritairement de carbonate de calcium CaCO3."). Il se trouve dans un environnement d’éboulis, d’alluvions glaciaires et de calcschistes"Schiste métamorphique calcaire, où la calcite CaCO3 est associée à du mica. Avant le métamorphisme, c'était un mélange de calcaire et d'argile." planctoniques"Du grec « planktos », « errant », le plancton est un regroupement d’organismes, le plus souvent microscopiques, qui dérivent passivement ou nagent faiblement près de la surface des eaux douces, saumâtres ou salées.
« Le plancton marin est constitué de tous les organismes vivants qui se laissent dériver à grande distance dans l’océan, même si beaucoup d’entre eux, comme les Méduses, peuvent se déplacer activement sur de courtes distances. Cela inclut donc les Virus, les Bactéries et Archées, les Protistes (c’est-à-dire les Eucaryotes unicellulaires tels que les Protozoaires et les microalgues), le zooplancton, constitué d’animaux pluricellulaires dont la taille va d’environ 0,1 mm à plusieurs centimètres, et le phytoplancton (le plancton végétal). »
Éric KARSINTI (2019)
Plusieurs milliers d’espèces de plancton repérées par Tara Oceans sont inconnues.
Pour la science, Hors-série n°104 : Océans, le dernier continent à explorer. Pages 28-31."
(schistes"La schistosité est la texture feuilletée caractéristique, formée par une succession de plaques très fines, que prennent les roches après avoir subit un métamorphisme." calcaires"Du latin «calcarius», calcaire, chaux, les calcaires sont des roches sédimentaires, tout comme les grès ou les gypses, facilement solubles dans l'eau, composées majoritairement de carbonate de calcium CaCO3.") ou plus exactement de "marbres en plaquettes"Le terme "Marbres en plaquettes" était traditionnellement employé en Briançonnais pour désigner des calcschistes faiblement métamorphiques, d'âge néocrétacé-éocène (entre -100 et -34 millions d'années)."", c'est-à-dire de calcschistes faiblement métamorphiques"Le métamorphisme (du grec metá, au-delà, après et morphế, forme) désigne "l'ensemble des transformations subies par une roche (sédimentaire, magmatique ou métamorphique) sous l'effet de modifications des conditions de température, de pression, de la nature des fluides et, parfois, de la composition chimique de la roche. Ces transformations, qui peuvent être minéralogiques, texturales, chimiques ou encore structurales, amènent à une réorganisation des éléments dans la roche et à une recristallisation des minéraux à l'état solide."
Christian Nicollet (2010) « Métamorphisme et géodynamique », Paris, Dunod, coll. « Sciences Sup »,‎ février 2010"
, datant du Crétacé"Du latin « cretaceus », « qui contient de la craie », le Crétacé est ainsi nommé en se référant aux vastes dépôts crayeux marins datant de cette époque et que l’on retrouve en grande quantité en Europe, notamment dans le Nord de la France. Le Crétacé (entre -145 et -66 Ma) est la dernière Période du Mésozoïque ou Ère secondaire." supérieur (entre -100 et -66 millions d’années). Ces calcschistes"Schiste métamorphique calcaire, où la calcite CaCO3 est associée à du mica. Avant le métamorphisme, c'était un mélange de calcaire et d'argile." sont présents sur toute la rive gauche de la vallée du Mélezet. Ces roches proviennent de dépôts pélagiques"Du grec «pelágikós» et du latin «pelagicus», de la haute mer." (mer profonde). Elles témoignent ainsi d'un fond océanique ancien : c'était l'océan Téthys ligure ou océan liguro-piémontais, un océan profond de plus de 3 000 m, il y a 150 millions d'années.

      On note la présence d’un affleurement de gypse"Du latin «gypsum», pierre à plâtre, gypse, le gypse est du sulfate de calcium cristallisé et hydraté Ca2+SO42-, 2H2O, qui s'est formé par "précipitation" dans des eaux marines très peu profondes et surchargées en sels, sortes de marais salants naturels.
Dans les Alpes françaises, le gypse s'est principalement déposé au Trias supérieur. Les gypses sont très solubles sous l'action des eaux météoriques : formation de cavités, d'entonnoirs de dissolution..."
du Trias"Du latin « trias », « nombre de trois », car constitué de trois unités stratigraphiques distinctes (les Trias inférieur, moyen et supérieur), le Trias (entre -252 et -201 millions d'années) est la première Période du Mésozoïque ou Ère secondaire." (entre -252 et -201 millions d'années) immédiatement au SUD du lac des Rouites. Ces roches forment une bosse herbue, percée de multiples entonnoirs de dissolution"Un entonnoir de dissolution désigne une dépression, un creux topographique, en forme d'entonnoir, de plusieurs mètres à plusieurs dizaines de mètres de diamètre et de profondeur. Cette dépression se forme par effondrement, lorsqu'une roche sous-jacente soluble, tel le gypse, s'est dissoute et a laissé une cavité souterraine. Le processus est analogue aux fontis des zones minières." (voir ici) que ni les éboulis, ni les moraines"Emprunté au savoyard morêna, «renflement qui se forme à la lisière inférieure d'un champ en pente par suite de la descente de la terre», une moraine désigne un amas de blocs et de débris rocheux entraîné par le mouvement de glissement d'un glacier (moraine mouvante), et apparaissant lors de son retrait ou s'accumulant sur les bords, le centre ou l'extrémité inférieure de celui-ci (moraine déposée)." de névé ne parviennent à submerger. Ils sont les vestiges, eux aussi, du fond de l'océan Téthys ligure : les gypses"Du latin «gypsum», pierre à plâtre, gypse, le gypse est du sulfate de calcium cristallisé, qui s'est formé par "précipitation" dans des eaux marines très peu profondes et surchargées en sels, sortes de marais salants naturels.
Dans les Alpes françaises, le gypse s'est principalement déposé au Trias supérieur. Les gypses sont très solubles sous l'action des eaux météoriques : formation de cavités, d'entonnoirs de dissolution..."
sont des cristaux de sulfate de calcium dihydraté Ca2+SO42-, 2H2O, qui se sont déposés dans les eaux très peu profondes (quelques mètres tout au plus) d'une mer pelliculaire, facilement évaporable et surchargée en sels, sorte de marais salants naturels. De tels dépôts chimiques de sels, formés par évaporation de l'eau de mer, portent le nom d'évaporites. (Voir photographies de gypse ici et .)
 

  N°1 d’après le site GEOL-ALP www.geol-alp.com de Maurice GIDON, Copyright ©

  N°2 d’après le site GEOL-ALP www.geol-alp.com de Maurice GIDON, Copyright ©

 

  Contexte écologique du lac

      Situé au NORD-EST du département des Hautes-Alpes, dans la partie SUD-OUEST du Parc Naturel Régional du Queyras, le site naturel qui héberge le lac Sainte-Anne (2 415 m), le lac Miroir ou lac des Prés Soubeyrand (2 214 m) et le lac des Rouites (2 413 m), s'insère en rive gauche, au fond de la vallée du Mélezet (carte). Cet espace naturel est bordé à l'OUEST et au SUD par des sommets culminants à plus de 3 000 m. La prédominance d’imposantes falaises et de vastes éboulis, confère un aspect globalement minéral au paysage"Un paysage est une mosaïque d’écosystèmes reliés les uns aux autres, échangeant de l’énergie, de la matière et des organismes.". Ce site s'inscrit dans les Alpes internes et bénéficie d'un climat de type continental sec.

      Compris entre 2 050 m et 3 385 m d'altitude, cet espace naturel englobe les étages subalpin supérieur, alpin et nival, où se répartit la végétation. Outre les plantes spécifiques d'éboulis et de falaises, ce lieu présente des pelouses alpines d'aspect souvent écorché et, aux altitudes inférieures, des forêts de Mélèze (Larix decidua).

      Trois habitats déterminants sont recensés sur le site :
- les éboulis calcaires fins, représentés notamment par des formations à Liondent des montagnes (Leontodon montanus) et à Bérardie laineuse (Berardia lanuginosa),
- les bas-marais"Partie la plus basse d'un marais." cryophiles d'altitude des bords de sources et suintements à Laîche des frimas (Carex frigida),
- les ceintures péri-lacustres des lacs froids et des mares d'altitude à Linaigrette de Scheuchzer (Eriophorum scheuchzeri).

      Cet espace naturel comprend aussi cinq habitats remarquables :
- les mégaphorbiaies"Une mégaphorbiaie (du grec mega, grand et phorbē, paturage) est une formation végétale luxuriante, constituée de grandes herbes, de 1,5 m à plus de 2 m de hauteur, se développant sur des sols riches, frais, non-acides et humides." montagnardes et subalpines, formations opulentes de hautes herbes des combes humides et fraîches,
- les mélézins"Forêt de Mélèzes."-cembraies"Forêt de Pins cembro ou Arole." ou forêts de Mélèze (Larix decidua) et de Pin cembro (Pinus cembra),
- les bas-marais alcalins à Laîche de Davall (Carex davalliana),
- les bas-marais acides à Laîche noire (Carex nigra),
- les formations végétales des rochers et falaises calcaires.

      Le site renferme huit espèces végétales déterminantes :
Quatre sont protégées au niveau national :
- le Cystoptéris des montagnes (Cystopteris montana), Fougère plus fréquente dans les Alpes du Nord, n'occupant que de rares stations dans les Alpes du Sud où elle affectionne les chaos de blocs,
- le Saule à feuilles de myrte (Salix breviserrata),
- la Laîche faux Pied-d'oiseau (Carex ornithopoda subsp. ornithopodioides), petite Cypéracée affectionnant les rocailles longuement enneigées de l'étage alpin,
- la Laîche bicolore (Carex bicolor), rare Cypéracée des marécages arctico-alpins froids d'altitude.
Deux sont protégées en Provence-Alpes-Côte-d'Azur :
- le Jonc arctique (Juncus arcticus), plante arctico-alpine rare des marécages et des bords de ruisselets,
- le Saxifrage fausse diapensie (Saxifraga diapensioides).
Deux n'ont pas de statut de protection particulier :
- le Pied-d'alouette douteux (Delphinium dubium), spectaculaire Renonculacée des mégaphorbiaies"Une mégaphorbiaie (du grec mega, grand et phorbē, paturage) est une formation végétale luxuriante, constituée de grandes herbes, de 1,5 m à plus de 2 m de hauteur, se développant sur des sols riches, frais, non-acides et humides." subalpines, des aulnaies vertes et des prairies fraîches,
- le Saxifrage à tige dressée (Saxifraga adscendens).

      Le site abrite également une espèce remarquable protégée au niveau national :
- la Primevère marginée (Primula marginata), spectaculaire plante des parois calcaires.

      Seulement quatre espèces animales remarquables ont été recensées dans cette zone, ce qui mériterait des inventaires complémentaires (novembre 2017).

      Les Oiseaux sont représentés par :
- le Crave à bec rouge (Pyrrhocorax pyrrhocorax), Corvidé remarquable peu fréquent, inféodé aux alpages (où il se nourrit) situés à proximité de falaises (où il niche),
- le Tarin des aulnes (Carduelis spinus).

      Parmi les Insectes de cet espace naturel, se trouvent :
- la Piéride de la roquette (Euchloe simplonia), Lépidoptère Rhopalocère (« papillon de jour ») remarquable à aire disjointe des Alpes occidentales, des Pyrénées et des monts Cantabriques, inféodé aux pelouses subalpines où croissent ses plantes hôtes, des Brassicacées.
- le Petit Apollon (Parnassius corybas sacerdos), Lépidoptère Rhopalocère (« papillon de jour ») remarquable et protégé en France, des bords des torrents et autres zones humides des étages subalpin et alpin, dont la chenille est inféodée au Saxifrage faux-aïzoon (Saxifraga aizoides).

(En savoir plus).

      Inventaire de la faune et de la flore: INPN
 

  N°1 d’après le site INPN - Inventaire National du Patrimoine Naturel inpn.mnhn.fr, Copyright ©

 

 

Photo n°201707091
Lac des Rouites (2413m) (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation
Lac des Rouites (2 413 m).
Vue direction SUD-SUD-EST sur le Pic des Heuvières (3271 m).
(Le nom s'affiche au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201707090
Lac des Rouites (2413m) (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation
Lac des Rouites (2 413 m).
Vue direction SUD-SUD-EST avec le Pic des Heuvières (3271 m), en arrière plan.
(Le nom s'affiche au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201707092
Lac des Rouites (2413m) (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation
Lac des Rouites (2 413 m).
Vue direction SUD-SUD-EST sur le Pic des Heuvières (3271 m).
(Le nom s'affiche au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201907004
Lac des Rouites (2413m) (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Serge SOYEZ
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Lac des Rouites (2 413 m).
Vue direction SUD-SUD-EST sur le Pic des Heuvières (3271 m).
(Le nom s'affiche au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201707089
Lac des Rouites (2413m) (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac des Rouites (2 413 m).
Vue direction SUD-SUD-EST sur le Pic des Heuvières (3271 m).
(Le nom s'affiche au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201307065
Lac des Rouites (2413m) (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac des Rouites (2 413 m).
Vue direction NORD-OUEST sur :

- la Mamelle (2995m), au centre gauche,
- la Pointe de la Saume (3043m), au centre gauche,
- le point 2734, au centre droit,
- les Crestettes (2614m), sur la droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201307064
Lac des Rouites (2413m) (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac des Rouites (2 413 m).
Vue direction NORD-NORD-OUEST sur :

- la Mamelle (2995m), à gauche,
- la Pointe de la Saume (3043m), à gauche,
- le point 2734, au centre,
- les Crestettes (2614m), sur la droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201307062
Lac des Rouites (2413m) (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac des Rouites (2 413 m).
Vue direction NORD sur :

- le Pic de Rochebrune (3321m), à l'extrême gauche et au loin,
- le col des Estronques (2651m), sur la droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201307063
Lac des Rouites (2413m) (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac des Rouites (2 413 m).
Vue direction NORD sur :

- les Crestettes (2614m), à gauche,
- le Pic de Rochebrune (3321m), au centre et au loin,
- la Pointe de Rasis (2844m), à droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201307061
Lac des Rouites (2413m) (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lac des Rouites (2 413 m).
Vue direction NORD-NORD-EST sur :

- le col des Estronques (2651m), au centre,
- le Marcous (2685m), à l'extrême droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201307059
Lac des Rouites (2413m) (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac des Rouites (2 413 m).
Vue direction NORD-NORD-OUEST sur :

- la Mamelle (2995m), à l'extrême gauche,
- la Pointe de la Saume (3043m), à l'extrême gauche,
- le point 2734, au centre gauche,
- les Crestettes (2614m), au centre.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201307060
Lac des Rouites (2413m) (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lac des Rouites (2 413 m).
Vue direction NORD-NORD-OUEST sur :

- la Mamelle (2995m), à gauche,
- la Pointe de la Saume (3043m), à gauche,
- le point 2734, au centre.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201707089
Lac des Rouites (2413m) (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Emplacement du lac des Rouites (2 413 m), au pied du versant NORD-EST de la Crête des Veyres.
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°202107003
Schistes lustrés (Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Serge SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation
Calcschistes planctoniques (voir le texte).

 

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