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Anémone soufrée
Pulsatilla alpina apiifolia
BIOLOGIE DE L'ANÉMONE SOUFRÉE Peu fréquente, poussant sur sol non calcaire et acide, l’Anémone soufrée doit son nom à la couleur de ses sépales jaunes. Elle est la forme silicicole de l’anémone alpine (blanche) Pulsatilla alpina dont elle dérive et qui, elle, ne se rencontre que sur sol calcaire (1). Ces deux espèces s’excluent mutuellement : on dit qu’elles sont VICARIANTES"On appelle vicariance (latin, vicarius, remplaçant) le fait que deux espèces voisines occupant la même niche écologique s’excluent l’une l’autre à cause de barrières géographiques (rivière, montagne, vallée, glacier...) ou pour des raisons écologiques (exposition, nature du sol…). A l’endroit où se trouve une espèce, l’autre est absente. Les deux espèces ont probablement un ancêtre commun." (1).
On appelle vicariance (latin, vicarius, remplaçant) le fait que deux espèces voisines occupant la même niche écologique s’excluent l’une l’autre à cause de barrières géographiques (rivière, montagne, vallée, glacier...) ou pour des raisons écologiques (exposition, nature du sol…). A l’endroit où se trouve une espèce, l’autre est absente. Les deux espèces ont probablement un ancêtre commun.
Pour en savoir plus, consultez la webographie qui suit.
BIBLIOGRAPHIE 1) FRITSCH Robert (1987)
« Flore des montagnes » ; Éditions Didier Richard
WEBOGRAPHIE Erick DRONNET, Belles Fleurs de France http://erick.dronnet.free.fr/belles_fleurs_de_france
Franck LE DRIANT, FLOREALPES, http://www.florealpes.com/
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