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Contexte
géologique
du lac
Les
schistes lustrés"Les
schistes lustrés se sont formés à partir de sédiments calcaires argileux, non-purs. Déposés au fond de l’océan, ces sédiments ont subi un métamorphisme et
comme ils sont riches en paillettes de mica, ils présentent un aspect lustré très caractéristique.
Les schistes lustrés sont d’anciennes formations de type flysch calcaire plus ou moins gréseux déposées sur la marge distale et au pied de la marge européenne, dans le domaine de la transition continent-océan et sur la lithosphère océanique (futures ophiolites). Ces roches ont subi le métamorphisme alpin HP-BT (Haute Pression - Basse Température) (faciès des schistes bleus) vers -60 Ma puis ont été rétromorphosés (rétrométamorphisme) dans le faciès des schistes verts (T<300°C) vers - 39 et -31 Ma.
(RENARD M, LAGABRIELLE Y, MARTIN E, RAFÉLIS M (2018) ; Éléments de Géologie, 16ème édition du Pomerol, Éditions Dunod pp431-439, 601, 605).",
qui constituent l'environnement immédiat du lac de Clausis (2 441 m),
témoignent de la présence du fond de l'océan Téthys ligure ou océan
liguro-piémontais; un océan profond de plus de 3 000 m, il y a 150 millions
d'années. Sur le plancher de cet océan"La croûte océanique est composée de basaltes, de gabbros et parfois de serpentinites. Plus lourde que la croûte continentale, sa densité est comprise entre 2,9 et 3. Son épaisseur varie entre 1 et 10 km."
(Fig. 1),
constitué d'ophiolites"Du grec ophis, serpent : associations de roches [essentiellement gabbro, serpentinite, basalte] ayant la texture d'écailles de serpent."
(association de
serpentinite"La serpentine ne constitue pas un minéral unique: c'est un ensemble de minéraux qui ont été regroupés sous ce nom général. Les serpentines résultent de l'hydratation de l'olivine, qui est un des minéraux composant la péridotite. La péridotite est la roche qui constitue la majeure partie du manteau terrestre. Lorsque la péridotite subit un métamorphisme avec hydratation, elle se transforme en une roche métamorphique nommée serpentinite. Les réactions chimiques qui transforment le minéral d'olivine en minéraux de serpentine, et de ce fait la roche de péridotite en roche de serpentinite, portent le nom de serpentinisation. La serpentinisation d'une péridotite donne une serpentinite.", de
gabbro"Constituant principal de la couche inférieure de la croûte océanique, le gabbro est une roche issue de la fusion partielle de la péridotite mantellique au niveau d'une dorsale océanique, tout comme le basalte. Mais contrairement à cette roche sortie rapidement de la dorsale, le gabbro a subi un refroidissement lent en profondeur. Ainsi, bien que de même composition, gabbro et basalte diffèrent. Le gabbro, dont la cristallisation est complète, est une roche plutonique. Le basalte dont le refroidissement a été rapide et la cristallisation incomplète est une roche volcanique." et de
basalte"Roche volcanique issus de la fusion partielle des péridotites du manteau, le basalte est un des constituants des ophiolites et de la croûte océanique."
essentiellement), différentes sortes de sédiments se déposaient. Parmi
eux se trouvaient des argiles"Du latin «argilla», argile, l'argile désigne une famille de minéraux, les silicates SiO44- ou une particule dont la granulométrie (dimension) est inférieure à 4 microns.".
Lorsque l'océan qui s'était ouvert, il y a plus de 200 millions d'années
(Jurassique"Le Jurassique (entre -201 et -145 Ma) est une Période géologique du Mésozoïque ou Ère Secondaire qui doit son nom au Jura où des calcaires caractéristiques ont été trouvés.
Le système jurassique se subdivise en trois séries géologiques :
- Jurassique inférieur ou Lias,
- Jurassique moyen ou Dogger,
- Jurassique supérieur ou Malm."), a commencé à se refermer, il y a 80 millions d'années,
puis a disparu totalement par subduction"La subduction (latin subductio, action de tirer sur le rivage) est le processus par lequel une plaque tectonique s'incurve et plonge sous une autre plaque. Si c'est une plaque océanique qui disparait sous une plaque continentale, alors elle s'enfoncera jusqu'au manteau. Si c'est une plaque continentale qui est subduite sous une autre plaque continentale, alors il y aura arrêt de la subduction, collision continental, chevauchement, augmentation de l'épaisseur de la croûte et formation d'une chaîne de montagnes (orogénèse)." de sa
lithosphère"La lithosphère (du grec lithos, pierre et sphaera, sphère) désigne l'enveloppe rigide et externe de la Terre. Avec une épaisseur de 100 km, elle comprend la croûte terrestre et une partie du manteau supérieur. Elle se subdivise en plaques qui se déplacent les unes par rapport aux autres. La lithosphère, rigide, repose directement sur l'asthénosphère, solide mais ductile.",
il y a 65 millions d'années (Crétacé"Du latin « cretaceus », « qui contient de la craie », le Crétacé est ainsi nommé en se référant aux vastes dépôts crayeux marins datant de cette époque et que l’on retrouve en grande quantité en Europe, notamment dans le Nord de la France. Le Crétacé (entre -145 et -66 Ma) est la dernière Période du Mésozoïque ou Ère secondaire."), ces argiles"Du latin «argilla», argile, l'argile désigne une famille de minéraux, les silicates SiO44-, ou une particule dont la granulométrie (dimension) est inférieure à 4 microns."
se sont enfoncées sous le continent africain, où la majeure partie a été engloutie à jamais dans les profondeurs de l'asthénosphère"L'asthénosphère (du grec : astheneia, sans force, sans résistance et sphaera, sphère) est une partie "sans force", "sans résistance", c'est à dire ductile, du manteau terrestre. Elle se situe juste sous la lithosphère et se prolonge jusqu'au manteau inférieur. Elle commence à l'isotherme 1 350°C, vers 100 km de profondeur, où la température est nécessaire et suffisante pour rendre ductile les péridotites qui la composent. Elle s'achève vers 660 km au-dessous de la surface de la Terre, où la température atteint 1630°C. Par la présence de ce gradient thermique et des températures supérieures ou égales à 1 350°C, l'asthénosphère est animée de lents courants de convection, associés aux mouvements des plaques de la lithosphère.". Seule une petite partie
a pu plonger jusqu’à 50 km au-dessous de la surface terrestre avant d’être exhumée, puis déformée, plissée,
charriée"Le charriage est un mouvement tectonique qui transporte de grands ensembles de roches au-dessus d'une autre masse rocheuse, sur plusieurs dizaines ou centaines de kilomètres." sur la
marge continentale"Une marge continentale est une bordure immergée d'un continent. Elle est constituée de lithosphère continentale en contact avec de la lithosphère océanique. On distingue les marges continentales passives dues à une rupture de la lithosphère continentale par arrachement (processus de rifting et d'océanisation) et les marges continentales actives dues à une subduction de la lithosphère océanique sous la lithosphère continentale." européenne durant la collision Europe-Afrique. Avec les fortes températures et pressions qui règnent à
ces profondeurs, ces roches ont subi un métamorphisme"Le métamorphisme (du grec metá, au-delà, après et morphế, forme) désigne
"l'ensemble des transformations subies par une roche (sédimentaire, magmatique ou métamorphique) sous l'effet de modifications des conditions de température, de pression, de la nature des fluides et, parfois, de la composition chimique de la roche. Ces transformations, qui peuvent être minéralogiques, texturales, chimiques ou encore structurales, amènent à une réorganisation des éléments dans la roche et à une recristallisation des minéraux à l'état solide."
Christian Nicollet (2010) « Métamorphisme et géodynamique », Paris, Dunod, coll. « Sciences Sup », février 2010" :
en se mêlant à d'autres roches, notamment des ophiolites"Du grec ophis, serpent : associations de roches [essentiellement gabbro, serpentinite, basalte] ayant la texture d'écailles de serpent.",
ces argiles"Du latin «argilla», argile, l'argile désigne une famille de minéraux, les silicates SiO44-, ou une particule dont la granulométrie (dimension) est inférieure à 4 microns."
sont devenues des schistes lustrés"Les
schistes lustrés se sont formés à partir de sédiments calcaires argileux, non-purs. Déposés au fond de l’océan, ces sédiments ont subi un métamorphisme et
comme ils sont riches en paillettes de mica, ils présentent un aspect lustré très caractéristique.
Les schistes lustrés sont d’anciennes formations de type flysch calcaire plus ou moins gréseux déposées sur la marge distale et au pied de la marge européenne, dans le domaine de la transition continent-océan et sur la lithosphère océanique (futures ophiolites). Ces roches ont subi le métamorphisme alpin HP-BT (Haute Pression - Basse Température) (faciès des schistes bleus) vers -60 Ma puis ont été rétromorphosés (rétrométamorphisme) dans le faciès des schistes verts (T<300°C) vers - 39 et -31 Ma.
(RENARD M, LAGABRIELLE Y, MARTIN E, RAFÉLIS M (2018) ; Éléments de Géologie, 16ème édition du Pomerol, Éditions Dunod pp431-439, 601, 605).".
Les abrupts au-dessus, à l'EST et
à proximité du lac de Clausis (sommet 2937), ainsi que plus loin, au SUD-EST
(le Péouvou [3 232 m]) sont
constitués de
dolomies"Les dolomies sont des roches sédimentaires, qui contiennent au moins 25% d’un minéral nommé dolomite (carbonate double de calcium et de magnésium : CaMg(CO3)2), et aussi d’autres carbonates (carbonate de calcium, CaCO3) , (carbonate de magnésium, MgCO3), …"
du Trias"Du latin « trias », « nombre de trois », car constitué de trois unités stratigraphiques distinctes (les Trias inférieur, moyen et supérieur), le Trias (entre -252 et -201 millions d'années) est la première Période du Mésozoïque ou Ère secondaire."
supérieur (entre -230 et -220 millions d’années).
Les sédiments qui ont donné naissance à ces roches se sont déposés sur
le fond d'un océan, au tout début de sa genèse, lorsque celui-ci
"s'étirait" et "se creusait", il y a 250 à 200 millions d'années.
Ces
dolomies"Les dolomies sont des roches sédimentaires, qui contiennent au moins 25% d’un minéral nommé dolomite (carbonate double de calcium et de magnésium : CaMg(CO3)2), et aussi d’autres carbonates (carbonate de calcium, CaCO3) , (carbonate de magnésium, MgCO3), …"
se sont formés par
subsidence"La subsidence (latin subsidere, s'enfoncer) est l'abaissement de la croûte terrestre résultant d'un étirement-amincissement de cette dernière. Elle entraine un dépôt progressif de sédiments sous une profondeur d'eau constante."
dans des eaux dont la profondeur n'excédait pas quelques mètres, sur la
marge continentale passive"Une
marge continentale est une bordure immergée d'un continent. Sorte de
bord de mer, en somme. Elle est constituée de lithosphère continentale en contact avec de la lithosphère océanique. On distingue les marges continentales passives dues à une rupture de la lithosphère continentale par arrachement (processus de rifting et d'océanisation) et les marges continentales actives dues à une subduction de la lithosphère océanique sous la lithosphère continentale."
de l'ancien continent européen (un bord de
mer, en quelque sorte). Ainsi, le Péouvou est un témoin de
l'ancienne marge continentale passive (européenne) de l'océan. (Voir
ici)
Face au lac de Clausis, sur le versant droit de la vallée du Cristillan
et au SUD-OUEST du Rocher Blanc,
vers 2 500 m, un affleurement rocheux très coloré dévoile également le fond
de la Téthys ligure. Ce sont des serpentinites"La serpentine ne constitue pas un minéral unique: c'est un ensemble de minéraux qui ont été regroupés sous ce nom général. Les serpentines résultent de l'hydratation de l'olivine, qui est un des minéraux composant la péridotite. La péridotite est la roche qui constitue la majeure partie du manteau terrestre. Lorsque la péridotite subit un métamorphisme avec hydratation, elle se transforme en une roche métamorphique nommée serpentinite. Les réactions chimiques qui transforment le minéral d'olivine en minéraux de serpentine, et de ce fait la roche de péridotite en roche de serpentinite, portent le nom de serpentinisation. La serpentinisation d'une péridotite donne une serpentinite.", roches
caractéristiques d'une croûte océanique (Fig. 1). Selon les différentes espèces minérales de serpentine qui les constituent, la couleur de ces roches varie du vert au noir. Mais lorsqu'elles subissent une oxydation, elles se recouvrent d'une patine"De l’italien « patina », vert-de-gris, la patine est l’altération par transformation chimique, à la surface d’une
roche. Une cassure fraîche, effectuée par un marteau, par exemple, n’a pas la même couleur, ni le même aspect
qu’une cassure qui a été soumise quelques temps aux intempéries." rouille.
(Ici)
Fig. 1
Représentation schématique des différences entre les croûtes océanique
et continentale
Au SUD-EST du lac de Clausis et à respectivement 160 et 360 m
de dénivelé, se trouvent deux
glaciers rocheux que le
randonneur expérimenté et équipé de bonnes chaussures pourra atteindre
en 1H15 environ : ce sont les glaciers rocheux des Ugousses, à l’OUEST et à proximité du col des Ugousses (2 988 m).
Le premier (vers 2 660 m) (voir ici,
ici, encore ici et là) se situe à l’EST
du Ravin de Clausis et le second (vers 2 800 m) (voir
ici, ici, encore ici,
là et encore là...) entre le Ravin de Clausis et le col des Ugousses.
Les deux appareils semblent fonctionnels, notamment le second qui est encore bien "vivant".
Qu'est-ce qu'un glacier rocheux et comment
fonctionne-t-il ?
Avec ses froncements caractéristiques, son front raide et polylobé, ses blocs instables, le glacier rocheux est un spectaculaire mélange de glace et de pierrailles qui s’écoule lentement le long d’un versant montagneux en dessinant des bourrelets convexes vers l’aval d’où n’émerge aucun torrent. Il contient en outre des interstices assez grands. Avec une vitesse de quelques centimètres à quelques décimètres par an, la très lente progression d'un glacier rocheux est bien inférieure à celle d'un glacier blanc...
Le glacier rocheux est actif lorsqu'il possède, un noyau gelé, aussi nommé pergélisol"Mot-valise formé par les mots « permanent », « gel » et « sol », le pergélisol, (en anglais, « permafrost », « permanent frost », « gelé en permanence ») désigne la partie d'un sol gelée en permanence, au moins pendant deux ans, et de ce fait imperméable." ou permafrost"Mot-valise formé par les mots « permanent », « gel » et « sol », le pergélisol, (en anglais, « permafrost », « permanent frost », « gelé en permanence ») désigne la partie d'un sol gelée en permanence, au moins pendant deux ans, et de ce fait imperméable.", de plusieurs dizaines de mètres de profondeur protégé par 2 à 5 m de blocaille, un front raide (>35°) avec des blocs instables et une végétation quasiment absente
(A)
(D). En outre, dans les Alpes du Sud, ce type de glacier nécessite la présence de hauts vallons d'exposition NORD ou NORD-EST, avec des versants suffisamment raides et constitués de roches susceptibles de se débiter en blocs par gélifraction"La gélifraction (du latin gelu, « gelée, glace, grand froid » et fractio, « action de briser ») ou gélivation (du lation gelare, « geler ») ou cryoclastie (du grec kruos, « froid », et klasis, « briser, rompre ») est un processus géomorphologique d'altération des roches, provoqué par les cycles de gel et de dégel de l'eau. D’où l’expression « geler à pierre fendre ».
La glace occupe un volume de 9% supérieur à celui de l’eau liquide. À volume constant, la pression engendrée par cette dilatation de la glace dans ce qui la contient (roche, tuyau, bouteille,...) est énorme : elle atteint 220 GPa (soit 2 200 bars, soit 2,2 tonnes/cm2) !"
(ou gélivation"La gélifraction (du latin gelu, « gelée, glace, grand froid » et fractio, « action de briser ») ou gélivation (du lation gelare, « geler ») ou cryoclastie (du grec kruos, « froid », et klasis, « briser, rompre ») est un processus géomorphologique d'altération des roches, provoqué par les cycles de gel et de dégel de l'eau. D’où l’expression « geler à pierre fendre ».
La glace occupe un volume de 9% supérieur à celui de l’eau liquide. À volume constant, la pression engendrée par cette dilatation de la glace dans ce qui la contient (roche, tuyau, bouteille,...) est énorme : elle atteint 220 GPa (soit 2 200 bars, soit 2,2 tonnes/cm2) !" ou cryoclastie"La gélifraction (du latin gelu, « gelée, glace, grand froid » et fractio, « action de briser ») ou gélivation (du lation gelare, « geler ») ou cryoclastie (du grec kruos, « froid », et klasis, « briser, rompre ») est un processus géomorphologique d'altération des roches, provoqué par les cycles de gel et de dégel de l'eau. D’où l’expression « geler à pierre fendre ».
La glace occupe un volume de 9% supérieur à celui de l’eau liquide. À volume constant, la pression engendrée par cette dilatation de la glace dans ce qui la contient (roche, tuyau, bouteille,...) est énorme : elle atteint 220 GPa (soit 2 200 bars, soit 2,2 tonnes/cm2) !" ou
"geler à pierre fendre")
(C). De plus, pour que le noyau gelé d'un glacier rocheux ne fonde pas et que son activité soit ainsi conservée, la température moyenne annuelle de l'air doit impérativement rester inférieure à -2 °C.
(C) (E)
(F)
Lorsque le manteau neigeux fond, au printemps, de l'eau s'infiltre entre les blocs et gèle en profondeur. Le volume du mélange glace-pierrailles augmente : le glacier s'écoule alors plus rapidement, sous l'effet de son propre poids. Un glacier rocheux fonctionne ainsi, à vitesse maximale, pendant une quinzaine de jours en fin de printemps, avant de retrouver son volume initial théorique.
(B)
Les conditions nécessaires au fonctionnement du second glacier
rocheux des Ugousses semblent bien réunies : en juin 2022, lors des
prises de vue (voir ici,
encore ici,
là et encore là), des pierres tombaient sur toute la longueur du front, laissant présager que cet appareil était bien actif et en mouvement ! ! !
N°1 d’après le site GEOL-ALP
www.geol-alp.com de Maurice GIDON, Copyright ©
N°2 Marcel LEMOINE, Pierre TRICART (1988) « Queyras: un océan il y a 150 millions d'années »
Éditions
du BRGM
N°2' Pierre
TRICART, Marcel LEMOINE (2013)
« À la découverte de la géologie des sentiers du Queyras »
Éditions du BRGM
N°3 Marcel LEMOINE,
Pierre de GRACIANSKY, Pierre
TRICART (2000) « De
l'océan à la chaîne de montagnes. Tectonique des plaques dans les
Alpes »
Édition
Gordon breach, Collection Géosciences
N°4 d’après le site GEOL-ALP
www.geol-alp.com de Maurice GIDON, Copyright ©
N°5 d’après le site GEOL-ALP
www.geol-alp.com de Maurice GIDON, Copyright ©
A Regula FRAUENFELDER et Isabelle ROER (Traduction et adaptation
française : Reynald DELALOYE) (2007) «
Les glaciers rocheux et leurs mouvements
»,
Les Alpes 9/2007 pages 34 à 37
B FISCHESSER Bernard (2018) « La vie de la montagne »
Éditions Delachaux et Niestlé
C Pierre COSTE, Michèle ÉVIN (1990)) « ALPES
Haute Ubaye - Parc national du Mercantour : Balades et randonnées »
Éditeur : Association pour le développement de la randonnée en
Haute-Provence 42 Bd Victor Hugo, 04000 Digne-les-Bains ;
p.91-92
D PERRUCHOUD Eric (2007) « Suivi par GPS des déformation de glaciers
rocheux et moraines de poussées dans les Alpes valaisannes »
Mémoire de master
E ÉVIN Michèle, ASSIER A. (1983) «
Mise en évidence de mouvements sur la moraine et le glacier rocheux de
Sainte-Anne (Queyras, Alpes du Sud - France) : le rôle du pergélisol alpin »
In : Revue de géographie alpine. 1983, Tome 71 N°2. pp. 165-178
F ÉVIN Michèle, de BEAULIEU Jacques Louis (1985) «
Nouvelles données sur l'âge de la mise en place et les phases d'activité du
glacier rocheux de Marinet I (Haute-Ubaye, Alpes du Sud françaises). »
In : Méditerranée, Troisième série, Tome 56, 4-1985. pp. 21-30
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