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Lac de l'Étoile (2755m)

Mortice

Guillestrois

Hautes-Alpes

 

Latitude  44° 33' 44'' N
Longitude 6° 44' 57'' E
Altitude 2 755 m

 

Agrandir la carte IGN d’après le site GÉOPORTAIL https://www.geoportail.gouv.fr



  Itinéraires d'accès au lac

EN PARTIE HORS SENTIER

      Le lac de l'Étoile (2 755 m) se situe dans la commune de Vars (Guillestrois, Hautes-Alpes), au SUD-OUEST du col de Serennes (2 674 m), au SUD-OUEST de la Mortice (3 169 m) et au NORD-EST de la Tête de Paneyron (2 785 m) (carte n°1). Le départ de la randonnée peut se faire depuis au moins deux endroits, où l'accès routier est possible :

N°1 Départ : Parking (2 280 m) de la Cabane des Couniets (2 320 m), au-dessus de Sainte-Catherine (1 793 m) (Hautes-Alpes) (carte n°2). (Randonnée N°1).
L'accès routier jusqu'à la Cabane des Couniets se fait sur une piste carrossable depuis Sainte-Catherine (accès routier n°1). On accède à la Cabane des Couniets depuis Vars (accès routier n°2), Guillestre (accès routier n°3), Barcelonnette (accès routier n°4), Gap (accès routier n°5) ou Briançon (accès routier n°6), par exemple.

N°2 Départ : Parking du Col de Vars (2 108 m), au bord de la D 906 (Hautes-Alpes) (carte n°3). (Randonnées N°2 et N°3).
L'accès en voiture peut se faire par la D 902 depuis Vars (accès routier n°7), Guillestre (accès routier n°8), Barcelonnette (accès routier n°9), Gap (accès routier n°10) ou Briançon (accès routier n°11), par exemple.

      Voici les itinéraires de randonnée :

  N°1 d’après le site participatif Altituderando www.altituderando.com, Copyright ©
Suivre l'itinéraire ci-dessus jusqu'au col de Serenne (2 674 m), puis monter sur la Crête des Couniets au point noté 2 790 m sur la carte IGN. Suivre alors la crête, direction SUD jusqu'au lac de l'Étoile (2 755 m), qui est un lac de crête.

  N°2 d’après le site communautaire Bivouak.net www.bivouak.net, Copyright ©

  N°3 d’après le site participatif Altituderando www.altituderando.com, Copyright ©

 

  Contexte géologique du lac

      Le lac de l'Étoile (2 755 m) se trouve dans un environnement de flysch"De l’allemand fließen, « couler », le flysch est un faciès géologique qui a la particularité de glisser facilement sur les pentes. Il est constitué par une alternance de bancs de grès et de schistes argileux. Le flysch se forme par avalanches sous-marines successives lorsqu’un océan se referme. Il provient de boues et de sables déposés dans des eaux peu profondes qui dévalent une pente vers des eaux plus profondes. Pour chaque avalanches, ces boues et ces sables se redéposent au fond de l’océan par décantation. Les grains tombent plus ou moins rapidement selon leur densité et leur volume, sous l’action conjuguée de la gravité et de la poussée d'Archimède. Les grains les plus gros et les plus lourds (sables) se déposent en premier. Les grains les plus fins et les plus légers (boues) se déposent dans un second temps.
Petits grains dessus : boues.
Gros grains dessous : sables.
Un classement s'opère par décantation. On parle de granuloclassement, d'où la présence d’une stratification.
Avec le temps, ces sédiments deviennent des roches : les boues évoluent en schistes argileux, tandis que les sables se consolident en grès.
Les schistes argileux sont des roches tendres et friables qui "glissent" facilement sur les pentes. Le flysch, formé en partie de schistes argileux, forme ainsi des reliefs sensibles à l'érosion (flysch, de l’allemand fließen, « couler »).
Les grès, roches compactes, sont agencés en bancs qu'on retrouve souvent dans le paysage sous forme de "rubans".
Ces dépôts ont eu lieu juste avant la disparition de la Téthys Ligure ou océan liguro-piémontais."
noir, marqueur d'un océan ancien, aujourd'hui disparu. C'était
la Téthys ligure ou océan liguro-piémontais, un océan profond d'au moins 3 000 m, il y a 150 millions d'années.

      Typiquement un flysch"De l’allemand fließen, « couler », le flysch est un faciès géologique qui a la particularité de glisser facilement sur les pentes. Il est constitué par une alternance de bancs de grès et de schistes argileux. Le flysch se forme par avalanches sous-marines successives lorsqu’un océan se referme. Il provient de boues et de sables déposés dans des eaux peu profondes qui dévalent une pente vers des eaux plus profondes. Pour chaque avalanches, ces boues et ces sables se redéposent au fond de l’océan par décantation. Les grains tombent plus ou moins rapidement selon leur densité et leur volume, sous l’action conjuguée de la gravité et de la poussée d'Archimède. Les grains les plus gros et les plus lourds (sables) se déposent en premier. Les grains les plus fins et les plus légers (boues) se déposent dans un second temps.
Petits grains dessus : boues.
Gros grains dessous : sables.
Un classement s'opère par décantation. On parle de granuloclassement, d'où la présence d’une stratification.
Avec le temps, ces sédiments deviennent des roches : les boues évoluent en schistes argileux, tandis que les sables se consolident en grès.
Les schistes argileux sont des roches tendres et friables qui "glissent" facilement sur les pentes. Le flysch, formé en partie de schistes argileux, forme ainsi des reliefs sensibles à l'érosion (flysch, de l’allemand fließen, « couler »).
Les grès, roches compactes, sont agencés en bancs qu'on retrouve souvent dans le paysage sous forme de "rubans".
Ces dépôts ont eu lieu juste avant la disparition de la Téthys Ligure ou océan liguro-piémontais."
est constitué par une alternance de bancs de grès"Le grès est une roche sédimentaire détritique, issue de l’agrégation et de la cimentation (ou diagenèse) de grains de sable composés de silice (quartz)." et de schistes"La schistosité est la texture feuilletée caractéristique, formée par une succession de plaques très fines, que prennent les roches après avoir subit un métamorphisme." argileux"Du latin «argilla», argile, l'argile désigne une famille de minéraux, les silicates SiO44-, ou une particule dont la granulométrie (dimension) est inférieure à 4 microns.". Le flysch"De l’allemand fließen, « couler », le flysch est un faciès géologique qui a la particularité de glisser facilement sur les pentes. Il est constitué par une alternance de bancs de grès et de schistes argileux. Le flysch se forme par avalanches sous-marines successives lorsqu’un océan se referme. Il provient de boues et de sables déposés dans des eaux peu profondes qui dévalent une pente vers des eaux plus profondes. Pour chaque avalanches, ces boues et ces sables se redéposent au fond de l’océan par décantation. Les grains tombent plus ou moins rapidement selon leur densité et leur volume, sous l’action conjuguée de la gravité et de la poussée d'Archimède. Les grains les plus gros et les plus lourds (sables) se déposent en premier. Les grains les plus fins et les plus légers (boues) se déposent dans un second temps.
Petits grains dessus : boues.
Gros grains dessous : sables.
Un classement s'opère par décantation. On parle de granuloclassement, d'où la présence d’une stratification.
Avec le temps, ces sédiments deviennent des roches : les boues évoluent en schistes argileux, tandis que les sables se consolident en grès.
Les schistes argileux sont des roches tendres et friables qui "glissent" facilement sur les pentes. Le flysch, formé en partie de schistes argileux, forme ainsi des reliefs sensibles à l'érosion (flysch, de l’allemand fließen, « couler »).
Les grès, roches compactes, sont agencés en bancs qu'on retrouve souvent dans le paysage sous forme de "rubans".
Ces dépôts ont eu lieu juste avant la disparition de la Téthys Ligure ou océan liguro-piémontais."
, de l’allemand fließen, « couler », est un faciès géologique qui a la particularité de glisser facilement sur les pentes. Il est constitué par une alternance de bancs de grès et de schistes argileux. Le flysch se forme par avalanches sous-marines successives lorsqu’un océan se referme. Il provient de boues et de sables déposés dans des eaux peu profondes qui dévalent une pente vers des eaux plus profondes. Pour chaque avalanches, ces boues et ces sables se redéposent au fond de l’océan par décantation. Les grains tombent plus ou moins rapidement selon leur densité et leur volume, sous l’action conjuguée de la gravité et de la poussée d'Archimède. Les grains les plus gros et les plus lourds (sables) se déposent en premier. Les grains les plus fins et les plus légers (boues) se déposent dans un second temps.
Petits grains dessus : boues.
Gros grains dessous : sables.
Un classement s'opère par décantation. On parle de granuloclassement, d'où la présence d’une stratification.
Avec le temps, ces sédiments deviennent des roches : les boues évoluent en schistes argileux, tandis que les sables se consolident en grès.
Les schistes argileux sont des roches tendres et friables qui "glissent" facilement sur les pentes. Le flysch, formé en partie de schistes argileux, forme ainsi des reliefs sensibles à l'érosion (flysch, de l’allemand fließen, « couler »).
Les grès, roches compactes, sont agencés en bancs qu'on retrouve souvent dans le paysage sous forme de "rubans".
Ces dépôts ont eu lieu juste avant la disparition de la Téthys Ligure ou océan liguro-piémontais.

      Comme la plupart des lacs de crêtes (ex: lac de la Courbe [le Taillefer, Isère]), le lac de l’Étoile, se loge dans la crevasse d'arrachement d'un paquet rocheux qui a glissé en bloc, sans se disloquer (ou avec une dislocation partielle), sur le flanc d'une vallée. Mais tous les lacs de crêtes ne se forment pas ainsi : la cuvette qui abrite le lac Froid (2 675 m), vers le village de Larche, proche de la frontière italienne (Alpes de Hautes Provence) a, quant à elle, une origine bien mystérieuse. En effet, on n'observe dans ce cas aucun accident tectonique, aucune trace de crevasse d'arrachement.
 

  N°1 d’après le site GEOL-ALP www.geol-alp.com de Maurice GIDON, Copyright ©

 

  Contexte écologique du lac

      Situé dans le NORD-EST du département des Hautes-Alpes, dans la partie SUD-OUEST du Parc Naturel Régional du Queyras, le site qui héberge le lac de l'Étoile (2 755 m) se trouve sur une crête entre la Tête de Paneyron (2 785 m) et la Mortice (3 169 m). Cet espace naturel s'étend sur un substrat carbonaté de calcaires"Du latin «calcarius», calcaire, chaux, les calcaires sont des roches sédimentaires, tout comme les grès ou les gypses, facilement solubles dans l'eau, composées majoritairement de carbonate de calcium CaCO3." et de flysch"De l’allemand fließen, « couler », le flysch est un faciès géologique qui a la particularité de glisser facilement sur les pentes. Il est constitué par une alternance de bancs de grès et de schistes argileux. Le flysch se forme par avalanches sous-marines successives lorsqu’un océan se referme. Il provient de boues et de sables déposés dans des eaux peu profondes qui dévalent une pente vers des eaux plus profondes. Pour chaque avalanches, ces boues et ces sables se redéposent au fond de l’océan par décantation. Les grains tombent plus ou moins rapidement vers le fond, selon leur densité et leur volume, sous l’action conjuguée de la gravité et de la poussée d'Archimède. Les grains les plus gros et les plus lourds (sables) se déposent en premier. Les grains les plus fins et les plus légers (boues) se déposent dans un second temps.
Petits grains dessus : boues.
Gros grains dessous : sables.
Un classement s'opère par décantation. On parle de granuloclassement, d'où la présence d’une stratification.
Avec le temps, ces sédiments deviennent des roches : les boues évoluent en schistes argileux, tandis que les sables se consolident en grès.
Les schistes argileux sont des roches tendres et friables qui "glissent" facilement sur les pentes. Le flysch, formé en partie de schistes argileux, forme ainsi des reliefs sensibles à l'érosion (flysch, de l’allemand fließen, « couler »).
Les grès, roches compactes, sont agencés en bancs qu'on retrouve souvent dans le paysage sous forme de "rubans".
Ces dépôts ont eu lieu juste avant la disparition de la Téthys Ligure ou océan liguro-piémontais."
. Il s'inscrit dans les Alpes internes et subit un climat montagnard de type continental. Les étages de végétation subalpin, alpin et nival se distribuent dans cet espace naturel. Les grandes étendues herbeuses de pâturages, les prairies subalpines et les pelouses alpines contrastent avec les imposantes falaises et les vastes éboulis.

      Deux habitats déterminants sont recensés sur le site :
- les éboulis calcaires fins, représentés notamment par des formations à Liondent des montagnes (Leontodon montanus) et à Bérardie laineuse (Berardia subacaulis),
- les bas-marais"Partie la plus basse d'un marais." cryophiles d'altitude des bords de sources et suintements à Laîche des frimas.

      Cet espace naturel possède également sept habitats remarquables :
- les mégaphorbiaies"Une mégaphorbiaie (du grec mega, grand et phorbē, paturage) est une formation végétale luxuriante, constituée de grandes herbes, de 1,5 m à plus de 2 m de hauteur, se développant sur des sols riches, frais, non-acides et humides." subalpines, formations opulentes de hautes herbes des combes humides et fraîches,
- les prairies de fauche d'altitude,
- les mélézins"Forêt de Mélèzes."-cembraies"Forêt de Pins cembro ou Arole." ou forêts de Mélèze (Larix decidua) et de Pin cembro (Pinus cembra),
- les éboulis calcaires alpins,
- les bas-marais alcalins à Laîche de Davall (Carex davalliana),
- les bas-marais"Partie la plus basse d'un marais." acides à Laîche noire (Carex nigra),
- les formations végétales des rochers et de falaises calcaires.

      Parmi les espèces végétales, le site comprend :
- le Saxifrage fausse diapensie (Saxifraga diapensioides),
- la Laîche très noire (Carex atrata var. aterrima),
- le Pied-d'alouette douteux (Delphinium dubium), spectaculaire Renonculacée des mégaphorbiaies subalpines, des aulnaies vertes et des prairies fraiches,
- la Bérardie laineuse (Berardia subacaulis), Astéracée archaïque endémique des Alpes sud-occidentales typique des éboulis calcaires à éléments fins,
- la Primevère marginée (Primula marginata), spectaculaire plante des parois calcaires,
- l'Ancolie des Alpes (Aquilegia alpina),
- la Minuartie des rochers (Minuartia rupestris subsp. rupestris),
- le Génépi noir (Artemisia genipi),
- l'Anémone de Haller (Pulsatilla halleri), belle Renonculacée à floraison printanière typique des pelouses et rocailles ventées.

      Parmi les Oiseaux nicheurs se trouvent :
- l'Aigle royal (Aquila chrysaetos),
- le Tétras lyre (Tetrao tetrix), Galliforme remarquable, emblématique des Alpes,
- le Lagopède alpin (Lagopus mutus), Galliforme remarquable, d'origine arctique, relique de l'époque glaciaire dans les Alpes, où il occupe les reliefs de croupes et de crêtes, fréquemment balayés par le vent (reliefs qui de ce fait sont à la fois déneigés [l'animal y trouve sa nourriture] et enneigés [l'animal peut s'y enfouir pour se protéger]), entre 1 800 et 2 500 m d'altitude.

      Parmi les Insectes de cet espace naturel, se trouvent :
- la Piéride de la roquette (Euchloe simplonia), Lépidoptère Rhopalocère (« papillon de jour ») remarquable à aire disjointe des Alpes occidentales, Pyrénées et monts Cantabriques, inféodé aux pelouses subalpines où croissent ses plantes hôtes (des Brassicacées),
- l'Azuré du Serpolet (Maculinea arion), Lépidoptère Rhopalocère (« papillon de jour ») remarquable et protégé au niveau européen, inféodé aux bois clairs et ensoleillés, pelouses et friches sèches avec présence de ses plantes hôtes, des Serpolets (pour sa chenille) et de sa principale fourmi hôte, Myrmica sabuleti (pour sa larve), jusqu'à 2 400 m d'altitude,
- l'Apollon (Parnassius apollo), Lépidoptère Rhopalocère (« papillon de jour ») remarquable d'affinité montagnarde, protégé au niveau européen, peuplant les rocailles, pelouses et éboulis à Crassulacées et Saxifragacées entre 500 et 2 500 m d'altitude,
- le Bourdon Bombus brodmannicus delmasi, dont cette sous espèce d'Hyménoptère est déterminante et endémique"L'endémisme, du grec éndêmos, indigène, caractérise la présence naturelle d'un groupe biologique exclusivement dans une région géographique délimitée." des pentes fleuries ensoleillées, riches en Cerinthe glabra et C. minor dont il butine les fleurs, des Alpes du Sud, et dont la sous espèce nominale ne se trouve qu'au Caucase.

      Inventaire de la faune et de la flore: INPN n°1 et INPN n°2
 

  N°1 d’après le site INPN - Inventaire National du Patrimoine Naturel inpn.mnhn.fr, Copyright ©

  N°2 d’après le site INPN - Inventaire National du Patrimoine Naturel inpn.mnhn.fr, Copyright ©

 

 

Photo n°201307073
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lac de l'Étoile (2755m).
Vue direction NORD, avec :

- le Pic des Houerts ou Pointe Jean Rostand (3235m), au centre,
- la Mortice (3169m), sur la droite.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201307072
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation
Lac de l'Étoile (2755m).
Vue direction NORD, avec le Pic des Houerts ou Pointe Jean Rostand (3235m), sur la droite.
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris).

Photo n°201307089
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac de l'Étoile (2755m).
Vue direction NORD, avec le Pic des Houerts ou Pointe Jean Rostand (3235m).
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201307088
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation
Lac de l'Étoile (2755m).
Vue direction NORD-NORD-EST, avec le Pic des Houerts ou Pointe Jean Rostand (3235m), sur la droite.
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201307081
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation
Lac de l'Étoile (2755m).
Vue direction NORD.

Photo n°201307080
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation
Lac de l'Étoile (2755m).
Vue direction NORD.

Photo n°201307083
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation
Lac de l'Étoile (2755m).
Vue direction NORD-NORD-OUEST, avec au loin le massif des Écrins (Mont Pelvoux [3946m]).
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris).

Photo n°201307079
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac de l'Étoile (2755m).
Vue direction EST sur les Aiguilles de Chambeyron (3325m).
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris).

Photo n°201307078
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation

Lac de l'Étoile (2755m).
Vue direction EST-SUD-EST sur :

- les Aiguilles de Chambeyron (3325m), à gauche,
- le Brec de Chambeyron (3389m), au centre gauche.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

Photo n°201307070
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac de l'Étoile (2755m).
Vue direction SUD-OUEST sur la Tête de Paneyron (2785m).
Les roches "noires" de la Tête de Paneyron sont du « flysch noir » (schistes argileux) briançonnais.
(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris).

Photo n°201307071
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
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Lac de l'Étoile (2755m).
Vue direction SUD sur les sommets de l'Ubaye.

Photo n°201307075
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Lac de l'Étoile (2755m).
Vue direction SUD sur les sommets de l'Ubaye.

Photo n°201307074
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
Copyright Reproduction interdite sans autorisation
Lac de l'Étoile (2755m).
Vue direction SUD sur les sommets de l'Ubaye.

Photo n°201307090
Lac de l'Étoile (2755m) (Guillestrois, Mortice, Queyras, Hautes-Alpes)
Cliché Dominique SOYEZ
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Depuis la Tête de Paneyron (2785 m), vue sur :

- le Pic des Houerts ou Pointe Jean Rostand (3235m), à gauche,
- la Mortice (3169m), au centre gauche,
- l'emplacement du lac de l'Étoile (2755m), au centre.
Les roches "noires" du premier plan et du sommet de la Mortice sont du « flysch noir » (schistes argileux) briançonnais.

(Les noms s'affichent au survol de l'image par le curseur de la souris)

 

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